Après l’orage d’hier on dirait que les insectes ont pris de la vigueur. Ici: Marcel 1/tiger 0, parce qu’ici, ceux là ils les appellent comme ça, et ils méritent bien ce surnom, ils ont même leur propre répulsif.
On avait apporté notre propre « région sauvage » et on a bien fait: vers 17:00 ils sortent et viennent au buffet. Tous n’en reviennent pas vivants.
On a beau être « zen », il y a des limites, les bouddhistes sauvent les vers de terre mais je soupçonne qu’i;s ne peuvent se retenir de sproutcher un moustique ou deux.
J’aime bien découvrir des protagonistes inattendus dans mes photos. Ici, cette petite araignée m’était passée inaperçue jusqu’à l’édition de la photo.
D’où la question de la conscience des insectes ou tout au moins de leur capacité à très bien nous voir et à onteragir avec nous: aujourd’hui, un papillon est venu se poser droit devant mon nez, comme pour me dire: tu veux quoi toi ? Parle à mon agent si tu veux une photo…
Emberlificoté:
Dans le tas de détritus de Franco, là où il amasse foins, artichauts fanés, pailles et cetera il y a aussi des vestiges de brebis et autres ovidés.
Et ici les ronces c’est pas une farce. Passer à travers un bosquet de ça sans laisser sa chemise relève de l’esquive d’un champion d’escrime.
Ces loris sont trop inquiets pour être bien photographiés.
Il n’y a pas que les abeilles pour polléniser.
