Après le choc, pourtant très prévisible, l'inévitable chute, de l'être humain aimé, tôt ou tard, au bout de son existence, au bout de ses cycles, the end of the loop ? Non. Impermanence. Toujours. Et, l'imprévisible, toujours.
Aussi, après l'appréhension de la douleur, la peur de la déchéance, l'angoisse de la perte, apparaît, la chaleur de l'affection, la chance de franchir les barrières, de toucher l'intangible. Le calme. Et malgré la tempête, au coeur de la tempête, la paix.
Le cri du cardinal, ce matin. Le temps est arrêté.