09 décembre 2004

workworkwork

Ça fait déjà plus de deux semaine que je travaille, contrat 40 heures semaines et plus à faire des textures pour un film de superhéros; c'est pas mal de boulot et tout une petite cuisine à assimiler, méchant pipeline comme on dit dans le métier, mon cerveau-lent a pas mal de difficulté à se farcir toute cette salade; compliqué en diable, pas tellement de peindre les textures dans photoshop ou même de déplier les coordonnées uv, mais tout le traintrain autour: work on asset, release asset, share etc. les aléas du petit logiciel propriétaire qui permet de ne pas se marcher sur les pieds, en l'occurence de ne pas écraser le travail des petits amis, vive Alien Brain... faut vraiment être maso et on y prend plaisir à la fin; comme je le disais à René aujourd'hui, j'aimerais bien savoir la distance que ma souris peut parcourir dans une journée, le nombre de clic, et de couics.
En tous cas c'est le premier soir ou je prends le temps de mettre quelques mots en blog. Rien de palpitant comme prose, c'est accordé, mais une vague évocation de ces belles journées de décembre (déjà) ou on n'a pas grand chose d'autre à faire que se les geler sur le coin de la rue ou d'Aller gagner sa croute. En effet, avec la glace je pourrais prendre mon élan et je me rendrais jusqu'au canal Lachine sur le cul, je travaille tout près;o)...