Depuis quelques jours ici à la casa Il Fienile, est-ce l’exercice, le soleil ou le grand air, j’ai envie de me lever très tôt, en fai de voir le soleil se lever, de profiter des heures fraîches et de la lumière qui s’empare ( ou pare, c’est selon) du paysage.
Et il y a ces moments bénis où une légère brume emplit les vallées. On jouit ici, il faut le dire, d’une vie à 180 degrés, en plongée sur la campagne toscane.
Ce matin, un mince croissant de lune, presqu’au zénith surplombait Vénus, tout ça s’est évanoui dans le bleu du ciel.
