Sur les arts, la musique, des images, des photos, des liens, à partir de Montréal, de moi, sur la vie, la mienne, vers celle des autres, ici, ailleurs.
13 octobre 2019
06 septembre 2019
04 septembre 2019
Cap Bateau, Pigeon Hill et le bar rayé
L’année dernière nous étions à Pointe Brûlée, Shippagan, cette année: Cap Bateau... on s’approche de la pointe extrême de l’Acadie: Miscou. Demain on ira voir, et tenter de photographier des balbuzards aigles pêcheurs, on sait où ils nichent.
Aujourd’hui Shac à Jack. Ace le magazin d’agrès... Je perds mes agrès, c’est comme si je les semais, ils se coincent entre deux pierres au loin ou je casse le fil en lançant, faut que je peaufine mon « surfcasting », c’est pas évident pour un gaucher...
Du vent, le tonerre des vagues qui s’abattent.
01 septembre 2019
Premiers jours, Cap Bateau - Nouveau Brunswick
Premier jour: température parfaite, soleil, brise, immensité.
Le lendemain suite au passage d'Erin quelque part, la mer est grise et agitée, le vent gifle et la pluie horizontale fouette le visage. Une petite marche de 2 kilomètres sur la plage vers la pointe gauche implique un retour en mode tempête qui donne bien envie d'atteindre la maison. Accueil réconfortant, trempé, on enlève tout, ça sèchera sur la corde à linge le lendemain, le vent sera plus chaud...
18 avril 2019
16 avril 2019
15 mars 2019
04 mars 2019
02 mars 2019
Le drone
le drone survole la scène, dans cet espace relativement limité se profile un groupe d’hominidés.
La vie se vit les pleurs aux yeuxde
Dans un cauchemard d’enfant j’ai réalisé un jour, la finitude de nos avenirs.
J’ai tremblé toute une nuit. J’ai rejoint mes parents dans leur lit.
Je claquais des dents devant mon avenir...
Aimez-moi.
Ils ne m’ont pas rejeté.
Je pleure les nuits passées, mes amis, mes amours, maints matins congelés, j’ai eu mieux que plusieurs et moins que d’autres aussi.
Qu’y puis-je ?
Prochain épisode
http://www.anima.sat.qc.ca/anima04/fr/panel.htm
J’imagine qu’à un âge qui s’avance on tend à retourner vers ses origines, vers les vieilles photos, vers les odeurs de fonds de tiroirs, les vieux livres, les puces. À comparer. Merci pour le cv Joseph.
Les photos, les cossins, les souvenirs en casseaux qui bercent nos moments de spleen.
La nature a horreur du vide, qui a dit ça ?
http://www.anima.sat.qc.ca/anima04/fr/panel.htm
Pour les archéologues du futur: l’ambiance mi-figue/mi-raison de ce billet a à voir avec une réunion et situation ayant lieu aujourd’hui même à VD.
Des ploucs.
Ils sont légion. Pas évident voir wikipédia.
J’imagine qu’à un âge qui s’avance on tend à retourner vers ses origines, vers les vieilles photos, vers les odeurs de fonds de tiroirs, les vieux livres, les puces. À comparer. Merci pour le cv Joseph.
Les photos, les cossins, les souvenirs en casseaux qui bercent nos moments de spleen.
La nature a horreur du vide, qui a dit ça ?
http://www.anima.sat.qc.ca/anima04/fr/panel.htm
Pour les archéologues du futur: l’ambiance mi-figue/mi-raison de ce billet a à voir avec une réunion et situation ayant lieu aujourd’hui même à VD.
Des ploucs.
Ils sont légion. Pas évident voir wikipédia.
22 février 2019
Petit succès...
ce soir, après quelques taponnages et ajustements... quelques numérisations d’objets, de vieilles « sculptures » en porcelaine, ou comme,ce qui était dans la pièce: mon vive.
Numérisation donc, ensuite import dans maya et render. Je suis étonné par le clair/obscur.
Mine de rien, j’aligne plusieurs éléments pour les assembler dans quelque scène que j’espère nouvelle: en vr, avec son ambiophonique et intervention ou expérience immersive maison.
Numérisation donc, ensuite import dans maya et render. Je suis étonné par le clair/obscur.
Mine de rien, j’aligne plusieurs éléments pour les assembler dans quelque scène que j’espère nouvelle: en vr, avec son ambiophonique et intervention ou expérience immersive maison.
Tara
C’est peut-être une copie déjà sur ce blog? Ça fait déjà plus d’un an en tous cas...
TiltBlocks_wTara_2min_8nov2017 from Marcel Achard on Vimeo.
TiltBlocks_wTara_2min_8nov2017 from Marcel Achard on Vimeo.
21 février 2019
DIALOGUES LAURENTIENS
Je suis content que le projet DIALOGUES LAURENTIENS ait été retenu comme finaliste au Prix d'excellence en français Gaston-Miron.
DIALOGUES LAURENTIENS est un projet de l'Atelier de l'île pour lequel onze poètes et onze artistes graveurs, ont été jumelés, à l’aveugle, pour réaliser un livre d’artiste composé d’échanges: une gravure inspirant un poème, un poème inspirant une gravure, le tout se terminant par une oeuvre à « quatre mains », une oeuvre imprimée, incluant poème et image issus des rencontres, sur une même page, comme un nouveau langage.
Les participants sont:
Marcel ACHARD/José ACQUELIN, Marie-Claude ARNAUD/Franz BENJAMIN, Louise BLOOM/Thierno Souleymane BARRY, Michèle CAMPEAU/Rodney SAINT-ÉLOI, Clémence GAGNÉ/Carole FORGET, Marilyse GOULET/Jérôme LAFOND, Lise JULIEN/Noémi THÉBALT, Normand MÉNARD/ANNAB, Ginette PICHÉ/Gilles MATTE, Odette PINARD/Louis-Philippe HÉBERT, Jessica THIBAULT/Patrick DUBÉ.
"Le projet Dialogues Laurentiens de l’Atelier de l’Île piloté par les commissaires Marcel Achard (volet estampe et idéateur du projet) et Gilles Matte (volet poésie) est finaliste pour le prix Gaston Miron ! Bravo aux 11 poètes et 11 graveurs !"
Merci à Michel Depatie:https://youtu.be/FlwB7bbD9NA
Voici l'invitation de la première lecture publque qui eut lieu à Val-David...
Merci à La Société nationale des Québécoises et des Québécois, région des Laurentides (SNQL) et au Mouvement Québec français des Laurentides (MQFL)organisateurs du Prix d’excellence en français Gaston-Miron pour cette reconnaissance !
Merci au Conseil des arts et des lettres du Québec, au Conseil de la culture des Laurentides et à la municipalité de Val-David pour leur soutien.
Ventilons
j’ai besoin d’aérer certaines irritations qui vont d’un léger échauffement de mes tympans à un prurit récurrent, très agaçant, et pouvant causer des saignements.
Je parle ici de la somme d’immondices sonores et des stupidités assommantes réitérées quotidiennement sur nos réseaux zé les médias.
Dans le désordre:
On parle ici des voix des pubs de vendeurs de camions, viriles et grognantes comme des couilles qui penderaient derrière un f150 ou un dodge ram.
Vous les avez entendues je peux pas croire que non...
J’ajoute les merdes de voyage trivago... oui oui, celles qu’on entend bien trop souvent.
Les publicitaires ne semblent pas pouvoir imaginer, qu’"à un moment donné", l’abus de présence de leur labeur puisse devenir contreproductif... ou que l’insipide donzelle qui y baratine les mêmes vibrations puisse un jour se faire frapper inopinément dans la rue, sans doute par reflex du trop plein d’un auditeur en crise qui n’en pouvait plus lui non plus.
Trop, n’est-ce pas simplement trop "à un moment donné" ?
Je diverge, mais une fois parti, n’oublions pas les ineptes d’lcn, denis lévesque (prêt à poser toutes les questions (sic)) et sa douloureuse doudoune qui débitent des insanités et beurrent épais le chien écrasé et la rubrique de vedettes hier encore inconnues et qui auraient du le demeurer.
Je passe sous silence tous les abrutissements qui sur l’lcn passent maintenant pour des nouvelles, voire des informations : les aléas scéniques de mariemai et autres acolytes que je tente d’ignorer et ne nommerai pas, mais j’inclus mario dumont et l’ensemble des zanalystes politiques, opinionistes professionnels, influenceurs débiles et autres larrons enfoirés dont les élucubrations nous polluent ad nauseam. Où diable vont-ils les pêcher ? On ne rit plus.
Seule issue, ne pas regarder la téloche, ne pas écouter la radio, fuir tel un vilain misanthrope !
Et tant qu'à être parti, autant ajouter tous les "quandqu'on", les "dans le fond", les "en quelque part qu'on nous sert sans vergogne "en chambre", à tv, ou à la src.
Je vous invite à partager vos propres démangeaisons en utilisant le mot-clé #pubsdemerde, ou #abrutis.
Voilà, je vais me faire un thé vert.
Je parle ici de la somme d’immondices sonores et des stupidités assommantes réitérées quotidiennement sur nos réseaux zé les médias.
Dans le désordre:
On parle ici des voix des pubs de vendeurs de camions, viriles et grognantes comme des couilles qui penderaient derrière un f150 ou un dodge ram.
Vous les avez entendues je peux pas croire que non...
J’ajoute les merdes de voyage trivago... oui oui, celles qu’on entend bien trop souvent.
Les publicitaires ne semblent pas pouvoir imaginer, qu’"à un moment donné", l’abus de présence de leur labeur puisse devenir contreproductif... ou que l’insipide donzelle qui y baratine les mêmes vibrations puisse un jour se faire frapper inopinément dans la rue, sans doute par reflex du trop plein d’un auditeur en crise qui n’en pouvait plus lui non plus.
Trop, n’est-ce pas simplement trop "à un moment donné" ?
Je diverge, mais une fois parti, n’oublions pas les ineptes d’lcn, denis lévesque (prêt à poser toutes les questions (sic)) et sa douloureuse doudoune qui débitent des insanités et beurrent épais le chien écrasé et la rubrique de vedettes hier encore inconnues et qui auraient du le demeurer.
Je passe sous silence tous les abrutissements qui sur l’lcn passent maintenant pour des nouvelles, voire des informations : les aléas scéniques de mariemai et autres acolytes que je tente d’ignorer et ne nommerai pas, mais j’inclus mario dumont et l’ensemble des zanalystes politiques, opinionistes professionnels, influenceurs débiles et autres larrons enfoirés dont les élucubrations nous polluent ad nauseam. Où diable vont-ils les pêcher ? On ne rit plus.
Seule issue, ne pas regarder la téloche, ne pas écouter la radio, fuir tel un vilain misanthrope !
Et tant qu'à être parti, autant ajouter tous les "quandqu'on", les "dans le fond", les "en quelque part qu'on nous sert sans vergogne "en chambre", à tv, ou à la src.
Je vous invite à partager vos propres démangeaisons en utilisant le mot-clé #pubsdemerde, ou #abrutis.
Voilà, je vais me faire un thé vert.
19 février 2019
14 février 2019
Un autre petit dessin..
Février, les jours passent. Rapidement. La lumière nous revient doucement.
Ça prendrait de la musique là dessus.
On travaille là dessus;-)
11 février 2019
J'ahuris...
11 février, une date pré-printannière. Sous le manteau de glace de l'hiver frémillent les particules endormies qui formeront notre prochain été. Hic et nunc, je panse des écorchures et rafistole mes énergies. La bête vieillit mais ne s'assagit pas. Je masse mes souvenirs pour en faire ressurgir un présent ainsi augmenté de cet humus, porteur de la prochaine marée, parti de rien pour arriver nulle part, je piaffe d'impatience en attendant ups.
Les derniers mois m'ont abondamment abreuvé de réalisations sans grandes surprises: les gens, en grande majorité, ne pensent qu'à eux-mêmes, l'homme est un loup pour l'homme, et ses soeurs sont souvent encore bien plus malveillantes (oh le vilain macho,-), individuellement serviles et précautionneux ils se trouvent des bravoures délétères dès qu'ils se regroupent; les mauvais instincts se précisent, s'aiguisent mutuellement et une petite envie de pouvoir, de contrôle se révèle, habillée de bien-pensance, en selle sur une monture de ressentiment ferrée de conformisme ils se liguent dans le bel esprit corporatif qui permet d'évincer les locataires et d'empaler les mécréants;-) Je rigole...
Les derniers mois m'ont abondamment abreuvé de réalisations sans grandes surprises: les gens, en grande majorité, ne pensent qu'à eux-mêmes, l'homme est un loup pour l'homme, et ses soeurs sont souvent encore bien plus malveillantes (oh le vilain macho,-), individuellement serviles et précautionneux ils se trouvent des bravoures délétères dès qu'ils se regroupent; les mauvais instincts se précisent, s'aiguisent mutuellement et une petite envie de pouvoir, de contrôle se révèle, habillée de bien-pensance, en selle sur une monture de ressentiment ferrée de conformisme ils se liguent dans le bel esprit corporatif qui permet d'évincer les locataires et d'empaler les mécréants;-) Je rigole...
08 février 2019
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