21 décembre 2024

Hiver encore

 En ces temps fous aller marcher le soir est une pratique de méditation et de prise de conscience.

Le froid fige les plantes et les matières, la vie prend une pause ou tout au moins ralentit un brin avant de reprendre son cycle.

On peut espérer la paix, se la souhaiter.
















05 décembre 2024

Archives de temps heureux

Mes grands frères, Maurice, Michel et  Jacques.
La vie est facile quand on est le cadet.

Ma mère, Marie-Thérèse Decot de son nom de fille.

À cheval à Montréal:
Mes grèves se faisaient traiter de « français », à mère était d’origine belge…
Joyeuse Halloween cette année là.

 Google buggue encore… impossible de mettre des photos sur iPad.

Je passe par mon téléphone.

Décembre à la porte, premières neiges, archives

Retombé dans les archives familiales, vieux négatifs à trier, à retravailler. 

Google m’embête avec ses conditions d’accès, ses cookies, ses validations diverses, et arrive à me faire douter du bien fondé de l’idée de confier tous ces trésors à leurs serveurs.


Léontine Onderet


Jacques, Michel, Maurice Achard à Val-David dans les Laurentides


Ma mère et ma sœur Francine au bord du petit lac.





13 novembre 2024

Aurore

 Parce que ça augure bien.

Après un bon bain de vieilles photos et objets obsolètes on peut mesurer au quart de poil l’inncomprehensibilité des choses.



05 novembre 2024

À l’aurore de la démocratie ?

Nous serons en quelque sorte « éclaboussés » par l’influence américaine et leur élection d’un(e) nouveau(velle) président(e) aux usa, la tendance politique mondiale n’est déjà pas réjouissante, et là on se trouve en position pour participer à un très mauvais film de réalité-politique-fiction.

Nos espérances ne comptent plus. On verra ce que l’avenir réserve à l’humanité.

Je lisais hier qu’Elon Musk possédait dorénavant 2/3 des satellites qui tournent autour de notre planète…Il y a de quoi être très inquiets. 

Trève de politique-railleries.

07 octobre 2024

Venise-Montréal

 30 000 pieds dans les airs le vol 409 vont nous ramener à Montréal pour le moment on va vol, on vole à travers des soubresaults des turbulences. 

Quand même l’âme en paix, malgré la bizarrereté de la situation, voir les cumulus d’en haut, sentir un peu la rotondité de la planète, on est parti de Venise maintenant on passe au-dessus de Londres, et la vitesse au sol est de 527 km heures.

Tout baigne. 

Notre arrivée est prévue dans les 6h26, on recule dans le temps. On récupère les moments perdus au départ, on va passer au-dessus de Dublin et ensuite à travers l’océan Atlantique du Nord; la température extérieure est de -58 °C -72 °F

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Omelette norvégienne…

Antonin Carême…

Auguste Escoffier.


À 68 ans je me cherche encore.

06 octobre 2024

Bellagiooooo !

 Matin de départ, habituels nuages en bandes passantes au dessus du lac. Pas de pluie, pas de gros soleil non plus.

On prendra le train vers Milan à partir de Côme tantôt. On espère que notre taxi sera fiable.

Ensuite vers la gare et cetera. Vet aprèsm on devrait être en balieue de Venise après la gare de Santa Lucia.

05 octobre 2024

Journée de rêve à Villa dei Sogni

 Samedi, il y a toujours quelque chose dans l’air.

Restés autour de notre point d’encrage, bord de piscine justex au cas, s’il nous prenait l’envie de plonger, mais non, trop froais; mais il faisait chaud pour guetter les lézards et les énormes sauterelles, grosses comme des oiseaux qui se promènent parfois, parasol, chaise longue à ombrelle puis avec la baisse du soleil l’envie de rentrer.





04 octobre 2024

Bellagio, fin de semaine, fin de voyage

Le site est superbe, l’air est vif; on goûte la fin de la saison.

Mais pour les 3000 résidents de Bellagio, la plupart des touristes partis il restera les vendanges tardives et la récolte 

De larges nappes de nuages prenant des allures de dragons allégoriques se fraient un chemin au dessus du lac de Côme; que se passe-t-il dans les forêts tout autour ? Il doit y avoir des lapins, des sangliers, des cerfs, qui peuplent les cimes aux rares visiteurs réservées aux randonneurs agiles qui connaissent ces lieux isolés parsemés de gîtes et de refuges où se réchauffer après l’ascension.

Le lac ne gèle pas; il neige parfois, quel spectacle cela doit être.

Hier, après hésitations, nous sommes allé souper pour célébrer encore, la fin du voyage, le périple d’un mois de découvertes et d’émerveillements; car il faut être bien blasé pour quitter Venise sans être standhalisé; pour découvrir Milan et en être ennuyé; pour aborder les escarpements de Bellagio sans un petit vertige.

À tout ceux qui ont vu Venise en un jour ou n’en ont même pas eu envie, quelle tristesse; d’autres ont tout laissé pour y refaire une vie.

Alors ce souper ? Entre Bellagio et Olivetto, sur le bord de la route: Salice Blu, l’entreprise d’un jeune couple, gastronomique, oenologique, expérimental; on est bien tombé, c’est juste en bas de la Villa dei Sogni, à pieds sur la via privata Serpale, 3 minutes en escaliers. On a pris un repas dégustation accompagné de vins choisis, tout était délicieux, le service attentif sans être guindé.

Je me questionne encore sur la petite machine pistolet à bulles de fumées odorantes versées en grappes sur notre plat; cuisine moléculaire ? alchimie de terroirs ? En tous cas c’était bon.

Le couple organise aussi des cours, des dégustations, des élèves soupaient fiers de leur tablier.







Merci la Vie…




02 octobre 2024

Hier la brume ce matin soleil

Midi la cloche sonne.

 

On s’asseoit un peu derrière, à l’ombre.

C’est beau toutes ces villas peintes ochre, terre de Sienne, avec leurs toits d’adobe aux cheminées couvertes de petites maisons.

Il fait frais. Qui taille ces ifs ? Sont faits comme ça ?