Finalement ça fait plus d’une semaine que noys sommes à Rome.
Comme c’est souvent le cas lors des voyages, on passe de totalement dépaysé à confortablement habitué aux alentours aux bruits, aux odeurs.
Souvenir du matin où le taxi nous a déposé au coin de l’avenue Genova et de Palerme où on est débarqué dans le quartier Monti. Un coin assez central et comme ça le dit, un peu surélevé.
Depuis quelques jours on s’est beaucoup promené, malgré les pavés inégaux, le trafic incessant, la menace des nombreux moyens de transport: trotinettes électriques, voitures petites et grosses et otu ce qu’il y a entre les deux…
Après quelque jours on commence à bien sentir la pollution: la gorge et les yeux piquent un peu, le bruit incessant, la foule partout. Mais c’est très agréable, les gens sont aimables, bruyants, bien habillés avec ce chic design italien dont la réputation n’est plus à faire.
On n’a pas fait la course, pas question de tout voir, mais quand même, on je peut pas venir à Rome sans aller voir la chapelle Sixtine, un peu l’enfer… Malgré la bonne préparation, les billets coupe-file, on s’est retrouvé au coeur du troupeau, dirigés d’une salle à l’autre dans un ballet orchestré par une sorte de Da Vinci code. Parlant de Leonard, on en a pas vu encore.
Mais les sculptures du Bernin, de Canova, des toiles du Caravage et autres, oui.
Des églises, en masse, et c’est très bien pour se rafraîchir, le marbre reste frais, l’ombre est appréciée.
On a mangé nos premières gélati, avec le plaisir de pouvoir s’asseoir pour les déguster. Pour moi ce fut un carnet à deux boules: chocolat à l’orange et fraises, pour Nathalie, même chocolat mais avec citron… délices romains.