Sur les arts, la musique, des images, des photos, des liens, à partir de Montréal, de moi, sur la vie, la mienne, vers celle des autres, ici, ailleurs.
25 juillet 2006
Ron Mueck
Il y a longtemps, j'avais été très impressionné par les oeuvres de Mark Prent, maintenant Ron Mueck a placé la barre très haute, comme le montre ce lien vers une exposition en urss
22 juillet 2006
Dangerous Times
Malgré et parfois peut-être à cause des progrès de la science et de la technologie, nous vivons une époque terrifiante. Plutôt que de progresser, en nous dotant de valeurs et de lois garantissant la paix, l'harmonie et le respect des droits de tous les humains, nous acceptons que ces valeurs d'intégrité et d'humanisme soient transgressées au profit des plus puissants et des plus riches. En ce sens, nous n'avons pas beaucoup évolué.
Tant que nous permettrons que des civils innocents soient opprimés, torturés, tués comme dommage collatéraux d'une quelconque idéologie ou de la protection d'une pseudo-démocratie, nous serons à la merci des corporations n'ayant pour seule morale que le profit, de leurs serfs et de certains fous dangereux qui régissent la planète pour le profit du plus petit nombre en comptant sur notre apathie. Malgré toutes les propagandes, tous les lavages de cerveaux et influences diverses, tant que nous permettrons et accepterons que quelque part dans le monde, un enfant puisse être tué pour permettre la continuation de l'économie, d'une quelconque idéologie ou religion, nous ne serons pas plus avancé qu'au moyen-âge. Et c'est ce que nous faisons à tous les jours, moi le premier. Par notre consentement manufacturé à la machine, par notre inconscience et notre ignorance, nous acceptons tacitement l'ordre établi; tant que nous ne sommes pas directement touchés, blessés, estropiés nous demeurons blottis dans notre confort et la peur, espérant continuer notre petit bonhomme de chemin. Mais les masses lésées depuis des générations ne peuvent plus tolérer notre indécence et le reflux de leur exaspération finit pas nous remonter à la face. Alors, nous devenons tous victimes de cette pauvre qualité de vie, de cette triste réalité, alors que nous pourrions la dépasser et améliorer le sort de tous, en changeant réellement les valeurs et les lois. Utopie quand tu nous tiens...
Tant que nous permettrons que des civils innocents soient opprimés, torturés, tués comme dommage collatéraux d'une quelconque idéologie ou de la protection d'une pseudo-démocratie, nous serons à la merci des corporations n'ayant pour seule morale que le profit, de leurs serfs et de certains fous dangereux qui régissent la planète pour le profit du plus petit nombre en comptant sur notre apathie. Malgré toutes les propagandes, tous les lavages de cerveaux et influences diverses, tant que nous permettrons et accepterons que quelque part dans le monde, un enfant puisse être tué pour permettre la continuation de l'économie, d'une quelconque idéologie ou religion, nous ne serons pas plus avancé qu'au moyen-âge. Et c'est ce que nous faisons à tous les jours, moi le premier. Par notre consentement manufacturé à la machine, par notre inconscience et notre ignorance, nous acceptons tacitement l'ordre établi; tant que nous ne sommes pas directement touchés, blessés, estropiés nous demeurons blottis dans notre confort et la peur, espérant continuer notre petit bonhomme de chemin. Mais les masses lésées depuis des générations ne peuvent plus tolérer notre indécence et le reflux de leur exaspération finit pas nous remonter à la face. Alors, nous devenons tous victimes de cette pauvre qualité de vie, de cette triste réalité, alors que nous pourrions la dépasser et améliorer le sort de tous, en changeant réellement les valeurs et les lois. Utopie quand tu nous tiens...
13 juillet 2006
dans la vie
Dans la vie tout nous est compté. Un certain nombre de jours,
d'heures, de minutes pour faire et consommer tout ce que la vie a à
nous offrir. Après, tout est dit, on a beau revenir, retenter,
réessayer, si le terme est dépassé rien ne saura y faire.
12 juillet 2006
À l'atelier
Deuxième jour à l'atelier, il fait chaud et humide, même dans les laurentides.
Je n'ai même pas encore imprimé; depuis deux jours je gratte et je vernis, aujourd'hui, les plaques vont à l'acide. Demain j'essaierai de faire quelques monotypes pour me remettre en contact avec la presse.
Un croquis pour une linogravure, il faut que je creuse toutes les parties blanches pour pouvoir encrer au rouleau.
Je n'ai même pas encore imprimé; depuis deux jours je gratte et je vernis, aujourd'hui, les plaques vont à l'acide. Demain j'essaierai de faire quelques monotypes pour me remettre en contact avec la presse.
Un croquis pour une linogravure, il faut que je creuse toutes les parties blanches pour pouvoir encrer au rouleau.
10 juillet 2006
encore plus de contraste
Le matin, s'éveiller au chant des oiseaux, les bruants n'arrivent pas à couvrir les chicanes des geais bleus, les colibris se poursuivent autour des fleurs, on flotte entre le sommeil et l'odeur de la rosée.
La journée, bicyclette ou hamac ? Deep thought...
L'après midi, vin blanc ou rosé ?
Le soir, observer les étoiles après souper, poursuite de lucioles et observation d'écrevisses. La nuit, un renard, (peut-être) glapit quatre fois.
Rien à dire, hors du monde.
summertime and living is easy
Juillet, campagne, nature, paisible, bonheur simple, contraste avec ville, bruit, missiles TaepoDong 2, finale de soccer, la démesure des échanges israélo-palestiniens.
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