Incroyable quand même, ces lectures tardives, que j’aurais assimiler bien plus tôt.
Tout est là, devant nous. La très lente évolution de la pensée.
« Ils perdent leurs journées à attendre la nuit, leur nuit à redouter l’aurore » Sénèque ».
Ça nous prendrait minimum 3 vies pour commencer à faire le tour de ce qu’il est possible de vivre en ce monde.
Le particulier demeure primordial.
La réalité ne se révèle qu’à nous.
« On m’a que soi » comme disait ferdinand.
Fin d‘année, rotations, vibrations.
Où s’en va-t-on?