Après deux semaine à Venise, où la beauté et l’art sont omniprésents on constate d’abord la différence de perspective et de lumière. Bien sur, la météo a beaucoup à y voir; hier en arrivant à la gare il pleuvait des cordes, la capture d’un taxi, la lutte contre les resquilleurs, le temps gris participait à une certaine baisse d’émerveillement presque toujours présent à Venise.
N’empêche, Milan semble offrir, à travers la grisaille, une bonne dose de « chic » et de résilience.