Dans un cauchemard d’enfant j’ai réalisé un jour, la finitude de nos avenirs.
J’ai tremblé toute une nuit. J’ai rejoint mes parents dans leur lit.
Je claquais des dents devant mon avenir...
Aimez-moi.
Ils ne m’ont pas rejeté.
Je pleure les nuits passées, mes amis, mes amours, maints matins congelés, j’ai eu mieux que plusieurs et moins que d’autres aussi.
Qu’y puis-je ?