Après deux semaines à Venise et une semaine à Milan, il y a quelques évidences qui ressortent.
Une certaine joie de vivre toute italienne, une attention à l’autre, même étranger, même différent et pauvre. Une manière aussi de laisser faire des affaires, une façon de vivre en mettant de l’avant le bonheur, les enfants, les vieux, les chiens; tout cela simplement, dans la convivialité. Ça fait partie du quotidien: Buongiorno, Grazzie mille.
Au resto: oui il y a un « coperto » pour poser son derrière sur une chaise en terrasse; il y a des taxes, elles sont incluses, il semble que les serveurs sont bien payés puisqu’ilsmfont très bien leur travail, avec amabilité, pas toujours super rapidement, mais à la fin tout est clair: ça coûte tant, on vous montre la facture, vous devez la regarder, l’accepter, la payer; il n’y a pas 15/18/20% pour un mauvais service.
Il faut traverser aux passages piétonniers, les voitures s’arrêtent. Même les tramways s’arrêtent, les gens ne sont pas aveuglés par leur stress, leur boulot. Il y a des fleurs aux fenêtres, les gens prennent le temps de vivre.
Mais oui, Milan c’est sali de graffiti, des petits sac à caca des chiens traînent ça et là; il y a beaucoup de travaux.